diff --git a/content/critiques/films/rubber/index.md b/content/critiques/films/rubber/index.md index 36a91c27..06e358ec 100644 --- a/content/critiques/films/rubber/index.md +++ b/content/critiques/films/rubber/index.md @@ -32,7 +32,8 @@ L'esthétique est qualitative, malgré la frugalité du matériel employé (deux Ensuite, parce que le casting est constitué de quelques figures américaines connues, et pas forcément des moindres : -- +- Haley Ramm (_Into the wild_, _X-Men : L'affrontement final_, entre autres) +- Thomas F. Duffy ([_Le Monde Perdu : Jurassic Park_](/critiques/films/the-lost-world-jurassic-park/), entre autres) ![](images/rubber-021.jpg) @@ -94,7 +95,7 @@ Et donc, je l'admire et ne l'aime pas à la fois. Ce n'est finalement ni un "film de merde" (67% sur [Rotten Tomatoes](https://www.rottentomatoes.com/m/rubber), j'ai regardé des films bien pires que ça et de toute façon, ma définition personnelle du "film de merde" est encore assez vague) ni une "pépite" (dans le sens où je n'ai pas _adoré_). -Il place un repère différenciant sur Quantin Dupieux dans un paysage cinématographique français, fade et codifié. +Il place un repère différenciant sur Quentin Dupieux dans un paysage cinématographique français, fade et codifié. Il prouve qu'il existe des réalisateurs français capables de s'extirper des carcans mornes et théâtraux des productions françaises. Que Dupieux fait partie de ceux qui ont osé réaliser des choses très différentes, quitte à s'exporter pour cela.