diff --git a/content/critiques/films/rubber/index.md b/content/critiques/films/rubber/index.md index a4ccc594..36a91c27 100644 --- a/content/critiques/films/rubber/index.md +++ b/content/critiques/films/rubber/index.md @@ -28,7 +28,7 @@ Déjà, parce que l'histoire se déroule dans le désert de Californie, auquel l Le minimalisme du film est servi à merveille par ce théâtre, dans lequel les décors fabriqués prennent leur place naturellement. L'esthétique est qualitative, malgré la frugalité du matériel employé (deux appareils photo pour tout le film). -![](images/rubber-08.jpg) +![](images/rubber-01.jpg) Ensuite, parce que le casting est constitué de quelques figures américaines connues, et pas forcément des moindres : @@ -58,7 +58,7 @@ Un point intéressant : on pourrait remplacer le pneu par n’importe quel autre Le thème de l'absurde ne peut pas être abordé de façon plus claire, et l'introduction nous met les deux pieds dedans, rendant le scénario acceptable : l'histoire suit un pneu tueur. -![](images/rubber-01.jpg) +![](images/rubber-08.jpg) J'ai normalement beaucoup, beaucoup de mal avec l'absurde. Mais, dans le contexte spécifique de ma tradition des "films de merde", je postule sortir de ma zone de confort.